Nos amis se retrouvent donc devant l'entrée glaciale du cimetière d'Havrefroid ou il y règne une ambiance morbide. Une lumière vive semble provenir de derrière un caveau, soudainement des squelettes en nombre sortent des caveaux de familles noble d'Havrefroid, Ninaran en tête, un chien en morceaux hurle à la mort et les premiers éclats du jour apparaissent au loin. La lumière vive provient d'un cercle lumineux qui semble avoir été tracé par une main humaine non loin d'un caveau. Le combat est âpre et dur, certains squelettes armés d'arme a distance tirent sur le groupe qui est obligé de scindé en deux afin d'éviter le massacre.
Ninaran est habile et vive, elle se déplace de tombeau en tombeau en tirant des volées de flèches sur nos héros, petit a petit Ninaran concède du terrain et se retrouve pris au piège et n'a que pour seule alternative de fuir en sautant par dessus la barrière du cimetière, mais Aldaraban grâce a ses pouvoirs féerique se retrouve derrière la barrière et devant Ninaran qui acculée derrière se fait transpercer de part en part par l'épée de Milfred et le marteau de Balrek. Pendant ce temps Dhagar s'occupe des derniers squelettes.
Le groupe trouve dans un caveau, Valtroun, attaché, ligoté et bâillonné. Après avoir fouillé Ninaran, un document est lu par nos compagnons qui comprennent grâce a Valtroun qu'une faille au fort de Gisombre doit être ouverte par Kaldarel, un serviteur du Seigneur Démon Orcus, afin que ses légions se repaissent du village d'Havrefroid. Aldaraban prend du temps pour comprendre le message trouvé sur Ninaran et trouve le cercle lumineux et runique qui avait été utilisé pour invoquer les morts vivants. Après un rituel arcanique, Aldaraban réussi a fermer le cercle d'invocation lumineuse.
Nos héros raccompagnent Valtroun au village d'Havrefroid et décide de partir pour le fort de Gisombre ou ils comprennent que tout se jouera la bas en essayant d'interrompre le rituel que Kaldarel tente de finir pour ouvrir la faille qui permettra aux légions d'Orcus de déferler sur Havrefroid. le temps n'est plus à la réflexion, mais a l'action et nos amis pressent le pas pour arriver en vue du Fort de Gisombre.
mardi 23 novembre 2010
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